Peinture monumentale rue Louis-Joxe, Nantes (Loire-Atlantique).
Au XIXe siècle, la production picturale est essentiellement constituée de décors religieux dans les édifices de culte, répartie sur tout le territoire régional. Au siècle suivant, les décors peints apparaissent sur les murs extérieurs des édifices publics et privés. Des réclames sont peintes sur les pignons de bâtiments et des publicités, puis des trompe l’œil occupent les façades latérales d'immeuble au XXe siècle. Enfin, les grafs fleurissent sur toute sorte de murs dès la fin du XXe siècle, principalement sur le cordon littoral, sur le cours de la Loire et dans les centres urbains, comme Nantes et La Roche-sur-Yon, et au Mans dans une moindre mesure.
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Bras sud du transept, partie supérieure d'un enfeu. Ange thuriféraire et armoirie en partie illisible.
Peinture monumentale : ange ; Ensemble de deux peintures monumentales de l'abbatiale Notre-Dame de l'Epine, à Evron : Vierge à l'Enfant, saint Michel et un ange.
place de la Basilique
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1983